B et G concoctent toujours aisément les petites satires sociales aux saveurs douteuse sur les petits peuples avec une pincée d'absurdité, cette fois-ci au menu: les vices 2.0 de la société de consommation ou les dérives des avancées technologiques engendrées par le (néo) capitalisme numérique. La lutte des classes reléguée au hors champ, cap aux ennemis invisibles dans le cloud, ils transforment l'emprise du numérique sur notre vie moderne en un comique de situation tout en relativisant cette dépendance avec un ton nuancé.